Le grand Chinonais ne fut pas exclusivement un chantre du bien-vivre. Il aborda, tous les grands thèmes sur lesquels les penseurs se sont toujours penchés, touchant à la nature, la condition et les sociétés humaines. Et, vivant dans une époque de particulière violence, il ne pouvait manquer de réfléchir sur la guerre. Fort au courant ― on l’ignore souvent ― de tout ce qui touche aux choses militaires, témoin de profondes mutations dans les techniques et l’organisation des armées, il a voulu comprendre le phénomène guerrier et montrer comment peuples et princes continuent à en venir au massacre. Il l’a fait en peignant la guerre sous un jour parfois burlesque, pour mieux en montrer l’inanité et l’horreur. En philosophe, il a défini ce que devait être l’attitude du roi idéal devant une agression, du politique responsable du sort d’un pays.
Participation de 3€ demandée à l'entrée de l'amphithéâtre
sauf pour les lycéens et les adhérents
des Amis du Vieux Chinon
sur présentation de leur carte.
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